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ville de vanves

  • UNE APPLICATION CONCRETE DE LA POLITIQUE DE L’ARBRE DE GPSO A VANVES

    Dans le cadre des aménagements en cours sur l’entrée du parc Frédéric Pic et les abords de l’école du Parc, deux frênes ont été fragilisés au niveau de leurs racines, malgré les précautions d’usage prises lors des travaux de terrassement menés à l’occasion du réaménagement du parvis d’entrée du Parc F .Pic. «Un diagnostic phytosanitaire a conclu que les dommages constatés étaient irréversibles et entraînaient le dépérissement rapide des arbres, aggravé par les conditions actuelles de sécheresse. Ces arbres ont malheureusement dû être supprimés» indiquait GPSO en précisant que « Conformément à la Charte de l’Arbre, les arbres endommagés ont donc été remplacés aux frais de l’entreprise responsable des travaux. Le choix des essences tient compte également du changement climatique pour s’assurer d’une meilleure reprise et adaptation ». Ainsi, les nouvelles essences choisies présentent de nombreux atouts comme l’ont expliqué GPSO et la ville de Vanves sur leurs Newsletters ou site facebook :

    -Le chêne rouge, arbre majestueux au feuillage flamboyant en automne, contribue à diversifier le patrimoine végétal et offrira un ombrage durable aux promeneurs. Les deux arbres plantés, âgés de 25 ans, étaient jusqu’alors cultivés en bac de plantation. Ce mode de culture permet une plantation à cette période de l’année, contrairement aux arbres en motte, traditionnellement plantés en fin d’hiver.

    -Les lilas des Indes, appréciés pour leur floraison estivale colorée, possèdent également une écorce décorative qui se desquame en plaques, révélant des nuances de beige, brun et gris rosé. Cet aspect singulier prolonge leur attrait bien au-delà de la floraison, tout en favorisant la biodiversité.

    Et d’indiquer que ce réaménagement est la première application de la charte de l’arbre adopté par GPSO lors de son conseil de territoire du 9 avril 2025 dont Bernard Gauducheau est à l’origine en tant de vice-président chargé de l’espace public. Pour entretenir au quotidien les 28 000 arbres par une équipe dédiée , et préserver ce patrimoine, GPSO a mis en place une « Charte de l’Arbre » afin d’encadrer les travaux menés par des entreprises intervenant sur l’espace public, comme le département des Hauts de Seine.

    « Durant divers travaux et chantiers sur l’espace public comme privé, en creusant dans le sol pour installer des canalisations, des réseaux d’électricité ou de gaz, en implantant du mobilier, ou bien dans le cadre de chantiers de travaux de constructions ou de démolitions, il arrive que des racines soient malencontreusement mises à nue ou coupées, que des branches soient cassées ou des troncs blessés. Invisibles et non détectables, les racines des arbres sont parfois réparties loin dans le sol, en profondeur comme en surface. Cela peut avoir des effets regrettables sur les arbres en altérant leur stabilité mécanique ou en ouvrant des plaies qui deviennent des portes d’entrée pour les maladies, compromettant leur physiologie » explique GPSO dans sa newsletters de Septembre.

    Ainsi la Charte de l’Arbre vise 2 objectifs :

    -Préciser les mesures à mettre en place pour la conservation des arbres, notamment l’installation de protections lors des chantiers,

    -Définir les critères d’indemnisation considérés en cas de préjudice, permettant d’établir les mesures financières compensatoires qui seraient appliquées en cas de dommages causés à un arbre par un tiers.

    Ainsi, grâce à cette politique, « les visiteurs du parc Frédéric Pic pourront ainsi profiter, dès cet automne, d’une entrée embellie et, dans les années à venir, d’un paysage arboré qui sublimera ce lieu emblématique de Vanves » comme le souligne GPSO

  • L’ART DU GRAND PARIS EXPRESS SUR LES GRILLES DES SQUARES DE VANVES

    Les vanvéens ont pu découvrir depuis une semaine sur les grilles du square Mitterrand, une grande fresque qui sera installée dans la future gare du Grand Paris Express, Fort d’Issy/Vanves/Clamart. Ses illustrations qui s’inspirent du territoire desservi, ont été réalisées par Joëlle Jolivet.

    Elle fait partie des artistes et auteurs issus des domaines de l’illustration, de la bande dessinée, du graphisme ou de l’animation qui ont été retenu par le pôle culturel de la société du Grand Paris pour créer de grandes fresques  appelées à être installées chacune des gares desservies par le Grand Paris Express.

    Une artiste qui a étudié le graphisme aux Arts Appliqués de Paris et la lithographie aux Beaux-Arts, fait de nombreux livres et albums avec des auteurs, comme Jean-Luc Fromental. Elle est renommée pour allier stylisation, humour et précision documentaire dans ses illustrations, réalisées le plus souvent en linogravure. Elle a publié plus d’une cinquantaine d’albums, dont la plupart sont traduits dans le monde entier. Elle a aussi illustré de nombreuses couvertures de romans et travaille de temps en temps pour la presse

    Elle avait déjà présenté son œuvre dénommé « Panorama » dans le cadre de l’exposition « Le Grand Paris en mouvement » à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine en 2024 au Trocadéro et expliqué que « mon projet est une vue panoramique à 360 ° à vol d’oiseau des quatre villes qui se rejoignent à la gare de Clamart, comme une table d’orientation continue, mêlant le proche et le lointain, le passé et le présent, le réel et l’imaginaire, le tout en linogravure. » Ses douze panneaux, représentent ces paysages, plus ou moins vus d’oiseau, les perspectives étant volontairement déformées, à la manière d’un objectif grand angle, pour faire apparaître un maximum d’éléments remarquables, proches ou lointains, passés ou présents. Ils sont réalisés en linogravure ou trait noir

    C’est ce que les vanvéens peuvent découvrir sur les grilles du square Mitterrand jusqu’au 6 Octobre, puis sur les grilles du square Jarrousse du 8 octobre au 12 Novembre. Sachant qu’à l’occasion des journées du patrimoine le week-end prochain, ils pourront découvrir cette gare du Grand Paris express au portes de Vanves car des visites seront organisées durant la journée du samedi 20 septembre

  • LE LYCEE MICHELET DE VANVES PARTICIPE AU PRIX GONCOURT DES LYCEENS

    L’annonce de la première sélection des romans de l’Académie Goncourt a marquée le semaine dernière,  le coup d’envoi du Prix Goncourt des Lycéens 2025. Créé et organisé par la Fnac et le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, sous le haut patronage de l’Académie Goncourt, le Prix Goncourt des Lycéens donne l’opportunité à près de 2 000 lycéens, accompagnés par leurs professeurs, de se plonger dans une lecture passionnée et de faire entendre leur voix pour élire leur lauréat, parmi les 14 auteurs sélectionnés par l’Académie.

    Et c’est le cas pour des élèves du lycée Michelet  qui sont dans la course du Prix Goncourt des Lycéens. Le coup d’envoi a été donné officiellement mardi dernier à la médiathéque de Vanves en présence du maire de Vanves, du proviseur du lycée, de la directrice de la médiathéque, des trois enseignantes Pauline Delabroy-Allard, Charlotte Girard et Lucile Péguet, qui accompagneront les élèves dont certains étaient présents

    Ils auront pour mission de lire ire les romans de la sélection Goncourt, en débattre en équipe, confronter les points de vue… et élire le livre qui les aura le plus touchés. «Avec les élèves du lycée Michelet, sélectionnés pour faire partie du jury, nous avons échangé sur le rôle unique qui leur est confié : lire, débattre et choisir, parmi la sélection du Goncourt, l’ouvrage qui les aura le plus marqués » relatait Bernard Gauducheau sur son blog pour qui c’est «une expérience littéraire et humaine exceptionnelle : Découvrir la richesse de la création contemporaine, débattre et confronter les idées, développer un regard critique et personnel sur la littérature »

    Parmi les 14 romans sélectionnés pour le Prix Goncourt des Lycéens 2025 : «  La nuit au cœur » (Gallimard) de Natacha Appanah, « Kolkhoz »e (P.O.L) d’Emmanuel Carrére (fils Héléne Carrére d’Encausse),  « L’Adieu au visage » (Marchialy) de David Deneugermain, « Un amour infini » (Albin Michel) de Gishaine Dunant, « La collision » (Gallimard) de Pascal Garnier, « Passagères de nuit » (Sabine Wespieser) de Yannick Lahens,  « Le Bel Obscur » (Seuil) de Caroline Lamarche, « Tambora » (Verdier), d’Héléne Laurains, «Le nom des rois » (Stock) de Charif Majdalani, « La Maison vide » (Minuit) de Laurent Mauvignier, « Le crépuscule des hommes » (Robert Laffont) d’Alfred de Montesquiou, « Perpétuité » (Verticales) de Guillaume Poix, « Tressaillir » (Stock) de Maria Pouchet et « Un frère » (L’Olivier) de David Thomas .

    Des livres dont dira sûrement un mot Güler Le Pape, responsable de la libraire Le Cheval Vapeur lors de la soirée dédiée à la Rentrée littéraire organisée le 23 Septembre par la médiathéque